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Top 10 des festivals bizarres de violence du monde entier
Nous avons couvert pas mal de festivals bizarres au fil des ans. Cependant, nous ne nous sommes jamais concentrés sur les cas étrangement violents. Vous trouverez ci-dessous le top 10 des célébrations uniques et déconcertantes, centrées sur la douleur.
10 Carnaval Entroido
Espagne
Entroido Carnival a lieu à Laza, en Espagne, et dure trois jours. Le premier jour, des hommes s'habillent de terrifiants masques de bois et défilent dans la rue avec des fouets. Ils représentent les contribuables galiciens qui ont surveillé les citadins au 16ème siècle. Entravez-vous ou existez près d'eux et vous allez vous faire fouetter.
Le lundi est le jour le plus violent du festival. C'est centré autour d'une pratique appelée farrapada (“Chiffon”). Des chiffons boueux sont jetés sans discernement sur tout ce qui a du pouls.
Cependant, les participants les plus redoutés de la journée sont ceux qui portent des sacs. Ils ont passé du temps dans la période qui a précédé le festival, ramassant des fourmilières et les plaçant sous les sacs. Le vinaigre est versé sur les fourmis ensachées, ce qui les rend particulièrement mordantes. Les autres fêtards (qui se lamentent maintenant sérieusement d'avoir emmené des chiffons boueux dans un combat de fourmis vinaigrées) sont pourchassés alors que les insectes sont lancés dans leur direction.
Les choses se terminent mardi avec un poème satirique appelé le testament de l'âne. Les résidents de Laza qui ont commis des erreurs au cours de l'année sont individuellement harcelés et se voient remettre des sections d'âne dans l'espoir que cela les aidera d'une manière ou d'une autre à éviter de les répéter.
9 coups de pied tibias Olimpick
Angleterre
Les jeux annuels des Cotswold Olimpick accueillent une variété d'événements. Beaucoup sont aussi archaïques que l'orthographe d '«olympique». Vous connaissez probablement le tir à la corde et la danse Morris. Piano fracassant, vous pouvez comprendre. Cependant, l'événement le plus populaire et le plus violent du festival est le championnat des tibias.
Les matchs sont une affaire individuelle. Les concurrents placent leurs mains sur les épaules les uns des autres. Dans cette position, ils doivent lutter pour obtenir un effet de levier afin de libérer une série de coups de pied aux tibias de leurs adversaires. Le combat se termine lorsqu'un concurrent ne peut plus en supporter. À ce stade, il ne manque plus que l'état «suffisant». C'est comme ça que le gentleman britannique a dit: "Maman, arrête ça."
On pense que les Jeux Cotswold Olimpick ont commencé en 1622. À l'époque, les choses pouvaient devenir sanglantes. On pense que les bottes à coiffe de fer étaient couramment portées et que les concurrents conditionneraient leurs tibias tout au long de l'année en les écrasant avec des objets tels que des marteaux.
De nos jours, c'est une affaire de classe. Les bottes à coiffe de fer ne sont pas autorisées et les jambes des pantalons des concurrents sont remplies de paille pour un amorti optimal En outre, ils portent des blouses de berger, qui sont essentiellement les mêmes que les sarraus de laboratoire. Cela donne l’apparence d’un combat de nerd pour savoir quelle série de Star Trek était le meilleur.
8 Agni Keli
Inde
À Mangalore, en Inde, des Hindous fervents se rassemblent pour apaiser la déesse Durga en se lançant des feuilles de palmier en feu. Les participants se rencontrent à la rivière locale pour un nettoyage communautaire et spirituel significatif. Ensuite, il est temps de jouer au dodgeball enflammé.
Les participants se divisent en deux groupes. De là, des flambeaux construits à l'aide de palmiers sont lancés du côté opposé. Plus les gens sont touchés, plus Durga est impressionnée.
Officiellement, chaque participant n'a droit qu'à cinq lancers, mais la lutte contre l'incendie dure environ 15 minutes. Cela signifie que beaucoup de flambeaux sont recyclés, ce qui indique que Durga est une déesse décontractée en matière de règles. Néanmoins, il y a des arbitres présents pour s'assurer que les gens ne soient pas trop blessés… tout en étant bombardés de feuilles de palmier enflammées.
Une fois les 15 minutes écoulées, les participants se dirigent vers le temple Kateel Durgaparameshwari, où une autre bagarre se déroule rapidement avant que les blessures ne soient aspergées d'eau bénite.
7 Rouketopolemos (La guerre des fusées)
Grèce
La nuit de Pâques à Vrontados, en Grèce, n’est pas une période de paix. Deux églises rivales (Saint Marc et Panagia Erithiani) se font concurrence depuis des siècles. Chaque année, les deux églises tentent de régler leurs comptes en lançant des feux d'artifice dans la direction de l'autre. Le perdant est l'église dont la cloche est frappée en premier.
Et pour les droits de vantardise du vainqueur, on devine. C'est juste amusant de trouver une excuse pour tirer des feux d'artifice sur les cloches. En outre, l'enregistrement des coups de cloche n'est pas effectué scientifiquement, ce qui signifie que les deux églises revendiquent chaque année leur victoire.
Tout le monde n'est pas fan des festivités. Les bâtiments environnants doivent être protégés avec des tôles métalliques, sinon ils subiront des dommages importants. Des incendies sont souvent déclenchés, dont les pires ont entraîné la mort.
En 2016, l'événement a été annulé pour des raisons de sécurité. Un homme de la ville aurait déclaré: «De nombreuses personnes se plaignent des dommages causés chaque année par la guerre à la roquette. Mais ces personnes ne sont pas nombreuses, seulement 20, je pense. J'espère… que cette tradition se poursuivra. ”
6 La bataille des oranges
Italie
L'origine de la bataille annuelle des oranges d'Ivrea, en Italie, n'est pas claire. La légende raconte que vers le XIIe siècle, la ville était dirigée par un marquis particulièrement méchant. Fou de pouvoir, il a tenté de violer la fille d'un meunier local. Elle a fini par le décapiter et a inspiré une révolte dans laquelle le palais a été incendié.
Le festival est une reconstitution de cette révolte. Au lieu de pierres et de tout autre projectile utilisé contre les hommes du marquis, la bataille se joue désormais uniquement avec des oranges.
Des caisses de fruits sont empilées dans la rue pour tous ceux qui souhaitent participer aux festivités.De là, vous attendez simplement que les hommes du marquis passent, guidés par des chevaux étonnamment obéissants (mais sans doute terrifiés). Bien qu'ils renvoient le feu, la blessure la plus probable que vous allez endurer viendra des alliés lorsque les oranges seront lancées d'un côté à l'autre.
Si vous avez déjà reçu une orange, vous savez qu'ils peuvent laisser une ecchymose impressionnante. L'année dernière, au moins 70 personnes ont été soignées pour leurs blessures.
5 Bolas De Fuego
Le Salvador
En 1658, l'éruption volcanique d'El Playon détruisit la ville de Nixapa au Salvador. Les survivants ont été transférés dans ce qui est Nejapa de nos jours. L’événement Bolas de Fuego a lieu tous les 31 août en commémoration.
Le nom se traduit par «boules de feu» et n'est en aucun cas trompeur. Au cours des trois mois précédant l'événement, les participants ont fabriqué plus de 1 500 boules de coton imbibé de kérosène. Ils sont également enveloppés dans du fil. De cette façon, ils ne perdent pas leur forme et peuvent vraiment frapper leurs cibles.
Des touristes émerveillés se cachent derrière leur téléphone-appareil photo alors que les boules de feu commencent à naviguer dans le ciel nocturne. Le visage de la plupart des participants est également enduit d'une peinture intimidante, juste au cas où les boules de feu ne suffiraient pas à faire battre votre cœur.
Bien que les images de la bataille de deux heures semblent extrêmes (et que les balles se perdent régulièrement dans la foule des spectateurs), les blessures graves sont étonnamment faibles.
4 Saidai-ji Eyo Hadaka Matsuri (Festival d'hommes nus qui se battent)
Japon
Hadaka Matsuri se traduit approximativement par «Festival de nu». Beaucoup ont surgi au Japon au fil des ans, mais aucun n'est plus célèbre que Saidai-ji Eyo Hadaka Matsuri. Il a lieu chaque année au temple Saidaiji à Okayama.
Techniquement, personne n'est vraiment nu. Les 9 000 participants exclusivement masculins portent tous un pagne, identique à celui des lutteurs de sumo. Depuis une fenêtre surélevée, un prêtre jette environ 100 bâtons sacrés dans la foule. On pense que la chance sera donnée à tout homme qui réussira à fourrer un bâton dans une boîte remplie de riz appelée masu.
Ce n'est pas une tâche facile, étant donné que la personne qui attrape le bâton doit alors lutter contre le reste de la foule d'hommes presque nus jusqu'à ce que le bâton soit placé en toute sécurité. Vraiment, gagner ce jeu est la chose la plus chanceuse que vous ferez. En fait, les participants ont parfois été extrêmement malchanceux car ils ont été écrasés à mort sur le sol du temple.
3 Festa De Sao João Do Porto
le Portugal
Le nom anglais officiel du festival est le festival de Saint Jean de Porto. Il a lieu chaque année le 23 juin et attire des milliers de personnes dans le centre de la ville portugaise. La date est probablement une indication des racines païennes du festival. C'est à peu près au moment de la récolte que beaucoup de gens s'approvisionnent en poireaux et en ail.
Les poireaux étaient aussi un symbole de fertilité, en partie grâce à leur forme quelque peu phallique. La tradition s'ensuit que les poireaux seraient frappés à la tête de leurs proches pour améliorer leurs performances sexuelles.
Au 20ème siècle, alors qu'ils étaient vraisemblablement fatigués des ecchymoses annuelles, les habitants se mirent à utiliser des marteaux en plastique au lieu de poireaux. Les marteaux créent des sifflements drôles lors de l’impact et sont relativement peu douloureux.
L'ail est encore une grande partie des festivités. Vous pouvez placer les clous de girofle devant les visages des gens pour leur dire à quel point vous les aimez. N'essayez pas cela ailleurs qu'à Porto. Si vous le faites, vous risquez de vous faire mal à la tête.
2 Takanakuy
Pérou
Takanakuy signifie à peu près «quand le sang bout». Il a lieu dans la province de Chumbivilcas au Pérou le jour de Noël. Au cours de la cérémonie, cinq personnages traditionnels sont représentés, dont Negro. Le personnage est celui d'un maître d'esclaves de la période coloniale péruvienne qui danse en cercle comme un coq.
Ces rituels se fondent bien dans l’événement principal des festivités: les combats. La minuscule province de Chumbivilcas, qui compte environ 300 habitants, voit son afflux de touristes le plus important au cours de l'événement. Plus de 3 000 personnes affluent pour assister à la frappe au visage.
Les feuilles qui se sont développées au cours de l’année sont installées ici et sont les bienvenues. Il n’est pas rare de voir des femmes et des enfants y participer, mais c’est surtout des hommes. Les poings sont enveloppés dans des vêtements et le combat prend fin lorsqu'un adversaire est éliminé ou que l'arbitre intervient. Les arbitres portent également des fouets pour empêcher les combattants et la foule de devenir trop frénétiques.
1 Festival d'Abare
Japon
Également appelé Festival du feu et de la violence, le festival d'Abare a lieu les premiers vendredi et samedi de juillet. Les rituels étranges impliqués sont en grande partie alimentés par le saké, et il est encouragé à causer le chaos car cela plaira à Susanoo-no-Mikoto, le dieu shinto de la mer et des tempêtes.
Vendredi, un défilé de lanternes a lieu dans le village d’Ushitsu, au Japon, et se termine à la jetée. Là-bas, les porteurs de lanternes sont accueillis par de grands incendies suspendus au sommet de poteaux. Lorsqu'ils brûlent, leurs braises glissent comme des flocons de neige. Les hommes et les garçons dansent en dessous et jouent de la batterie, des cloches et des flûtes. Rien ne vaut la flûte chaotique.
La deuxième nuit, l’accent est mis sur la destruction de deux sanctuaires portables alors que les fêtards se dirigent vers le sanctuaire Yasaka. Les classes mobiles sont jetées dans les routes et les rivières et subissent également leur part de feu. Ce qui reste est placé devant le sanctuaire de Yasaka et est brisé pendant des heures avec des torches enflammées pour obtenir une faveur spirituelle.