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10 faits étranges sur le dragon mortel de Komodo
La dragon de Komodo a longtemps existé dans la légende, mais n'a été redécouvert par le monde entier qu'au début des années 1900. Il a évolué de manière isolée, ne survivant que sur les îles indonésiennes - Komodo, Flores, Gil Motang, Padar et Rinca. En tant que prédateur principal de son environnement, il a évolué vers une taille et une force extraordinaires, ressemblant à un monstre sorti de la mythologie.
Il y a encore quelque chose d'incroyable dans la taille de ces bêtes. Nous venons tout juste de commencer à en apprendre davantage sur cette créature mystérieuse, et l'île de Komodo pourrait encore révéler plus de secrets.
10 inspiration pour King Kong
Merian C. Cooper conçu King Kong comme l'histoire d'un gorille géant sur une île préhistorique, et il a imaginé le film se terminant avec la bête au sommet de l'Empire State Building. Cependant, il ne savait pas comment se rendre des lieux à l'apogée - jusqu'à ce qu'il se tourne vers Douglas Burden et ses dragons de Komodo.
Burden était connu pour avoir capturé des dragons de Komodo vivants et les avoir amenés à New York. Les deux premiers dragons vivants qui sont rentrés aux États-Unis n'ont pas survécu longtemps. Cooper a blâmé la société civilisée pour la mort des dragons dans le zoo, et il a décidé qu'il voulait que son monstre à fourrure soit capturé de la même façon, soit présenté et meurt.
Cela ne signifie pas que les cinéastes étaient de grands défenseurs du bien-être des animaux. À l’origine, ils étaient tellement inspirés par les dragons qu’ils en voulaient un véritable pour combattre un gorille en direct sur film. La logistique de ceci s’est avérée être beaucoup trop de travail, et l’idée a été abandonnée.
9 mythes sur les morsures septiques
Beaucoup disent que la morsure du dragon de Komodo est ridiculement infectieuse. Sa salive contient soi-disant des bactéries horribles qui vont fondre votre intérieur, et si vous êtes trop gros pour tuer directement, elle vous mordra juste et attendra que les germes vous aplatissent.
Le chercheur australien Bryan Fry était sceptique et ses recherches ont récemment prouvé que la piqûre septique était un mythe. Il a constaté que la piqûre seule n'est pas plus susceptible de causer une infection que celle de tout autre animal sauvage. Au lieu de cela, les dragons tuent leur proie avec un puissant venin.
Une fois que le redoutable prédateur attrape une victime avec ses dents, il se débat rapidement tout en creusant. Cela libère le venin de minuscules conduits buccaux, supprimant rapidement les animaux plus petits. Pour les proies plus grosses, cela peut les blesser et les laisser comme le dit le mythe, mais le venin plutôt que les bactéries termine le travail.
8 ils aiment monter
La plupart des gens au zoo ne voient jamais que des dragons de Komodo adultes, il est donc difficile de les imaginer comme de petites choses. Pourtant, comme la plupart des bébés, ils commencent par être des versions miniatures de la réalité. Alors que les adultes passent souvent leur temps dans des terriers, hors de la chaleur, les plus petits préfèrent rester dans les arbres jusqu'à ce qu'ils atteignent leur pleine maturité.
En raison de leurs griffes acérées, ils sont naturels pour l'escalade et passeront beaucoup de temps dans les arbres pendant les premières années de leur vie. Les petits ne rejoignent pas leurs parents dans les terriers car les dragons de Komodo sont cannibales et mangeront leurs bébés si rien d'autre n'est disponible - ou tout simplement s'ils en ont envie.
Les adultes ont plus de difficulté à grimper dans les arbres les plus grands à mesure qu’ils deviennent plus grands et plus lourds. Donc, si vous êtes sur une île avec ces monstres, vous pourrez peut-être vous échapper par un arbre pour vous échapper d'un grand arbre, mais pour croiser tout un tas d'autres dragons de différentes tailles, attendant de vous régaler de votre chair.
7 pilleurs de tombes agressifs
Le dragon de Komodo est un énorme lézard-moniteur, et les lézards-moniteurs sont connus pour apprécier les cadavres, y compris humains. Dans certaines parties du monde, cela était considéré comme peu souhaitable, et à Komodo, les gens placent des pierres sur des tombes peu profondes pour protéger les restes des dragons. Cependant, à Bali, certaines tribus se seraient autrefois débarrassées de leurs morts en faisant manger par les lézards surveillants.
C’est peut-être tant de cadavres qui ont donné à ces lézards leur goût pour la chair humaine. Alors que certains prétendent qu'ils ne vous attaqueront que si vous vous aventurez dans la nature, des dragons ont été connus pour attendre en dehors des maisons des gens pour frapper. Un homme a à peine survécu après qu'un dragon a grimpé l'échelle à sa maison - qui était protégée par des échasses, comme beaucoup de maisons sur les îles - et l'a attaqué sans provocation.
6 malentendants
Bien que les dragons de Komodo soient capables d'entendre, ils ont peu d'utilité pour le sens en chassant, car ils ne peuvent pas entendre les sons aigus ou aigus. En outre, bien que le dragon de Komodo puisse voir correctement, il n'a que des cônes - les humains ont à la fois des cannes et des cônes - et il voit donc moins bien la nuit. Comme le dragon n'a qu'une vue passable et une faible audition, il repose presque entièrement sur l'odorat pour la chasse. Cependant, contrairement aux humains et à de nombreux mammifères, il n’utilise pas de nez traditionnel pour ses besoins olfactifs.
Le dragon utilise un vomeronasal, ou «organe de Jacobson», qui est souvent associé à l'identification de phéromones dans l'air. La langue reçoit également des échantillons de la concentration chimique de l'air et l'organe de Jacobson indique au serpent où et quelle est sa proie.
5 mécanismes de défense dégoûtants
Comme nous l'avons mentionné, être un bébé dragon de Komodo est un travail difficile. En plus de survivre de manière générale, il doit également faire attention aux adultes de sa propre espèce et en faire une collation rapide. Pour éviter de se cannibaliser complètement lorsqu'il ne se cache pas dans les arbres, le bébé dragon Komodo se couvrira d'excréments, sachant que son odeur repoussera les dragons adultes.
Cela permet au petit garçon de se cacher près des intestins d'un animal tué, camouflé dans des excréments, dans l'attente d'une chance de s'emparer de viande. Un jour, le petit monstre atteindra sa taille et terrorisera une autre génération de Komodos.
4 Parthénogenèse
Si vous avez déjà regardé parc jurassique, vous vous rappelez que les dinosaures entièrement féminines réussissent à se reproduire. Après avoir découvert cela, le Dr Malcolm a déclaré que «la vie trouve son chemin». Le dragon de Komodo, également isolé sur des îles éloignées, a également développé la technique extrêmement rare de la parthénogenèse, qui permet aux femelles de se reproduire sans les hommes. Cela n'a été découvert qu'en 2006.
En l'absence de mâle, la femelle peut transformer un ovule non fertilisé en embryon. La ponte finira toujours par être un homme, et cela convient bien au lézard, car il peut alors s'accoupler avec son propre enfant.
Ce processus est bien connu chez les organismes inférieurs, tels que les pucerons, mais il est presque inconnu chez des animaux aussi complexes que le dragon de Komodo. Un autre animal supérieur récemment découvert pour utiliser la parthénogenèse est le requin-marteau.
3 voici des dragons
Une croyance répandue est que, dans les temps anciens de la cartographie, les explorateurs dessinaient un dragon ou un serpent de mer pour indiquer les dangers inconnus, avec la phrase latine «Dracones hic sunt, "Qui se traduit par" sois ici des dragons ". Cependant, aucune preuve n'indique qu'il s'agissait en fait d'une convention commune. Seules quelques cartes utilisant des dragons sont utilisées comme symboles d’avertissement. Les quelques libellés «ici des dragons» copient tous un seul exemple, appelé globe de Hunt-Lenox.
Cette carte place les mots assez près des îles où le dragon de Komodo a élu domicile. Cela a amené certains historiens à croire que la phrase originale était peut-être un avertissement concernant les monstres vicieux. Dans ce cas, l'avertissement ne constitue pas un avertissement sur les dangers de l'inconnu mais un avertissement littéral à surveiller des dragons.
2 La légende de la princesse dragon
Les villageois qui vivent aux côtés des dragons de Komodo ont développé une relation étrange avec les monstres. Bien que les attaques aient été davantage médiatisées ces dernières années et que certaines personnes prétendent qu'elles sont en augmentation, ceux qui vivent avec les dragons les ont depuis longtemps découvertes comme une partie presque attachante de leur écosystème.
Une vieille légende indonésienne montre à quel point les créatures sont vues de façon romantique. Dans la légende, un homme tombe amoureux d'une princesse dragon. Ils sont doués de jumeaux, une fille dragon Komodo (que les parents appellent «Orah») et l’autre un être humain (que les parents appellent «Gerong»). Les deux sont divisés entre leurs parents et chacun grandit sans connaissance de l'autre.
Un jour, Gerong est à la chasse dans la forêt lorsqu'il rencontre un puissant dragon. Il est sur le point de le sortir avec sa lance, lorsque sa mère princesse dragon apparaît et lui dit qu'il est sur le point de fabriquer un shish kebab à partir de sa propre soeur jumelle. Il épargne la vie de son frère-lézard et ils vivent heureux pour toujours.
1 La propagation de Salmonella
En 1996, plusieurs personnes ayant visité le zoo de Denver le même jour ont été contaminées par la salmonelle. Cinquante personnes sont tombées malades et huit d'entre elles ont été hospitalisées. Le CDC a facilement identifié la maladie comme étant une souche portée par l'un des dragons de Komodo au zoo.
Le zoo a organisé une exposition spéciale ce jour-là avec le dragon de Komodo sorti de sa cage de verre habituelle, afin que les gens puissent le voir et mieux interagir avec lui. Ils avaient déplacé l'animal dans une nouvelle cage en bois ouverte. Les gens ont touché le bois qui avait touché le dragon - qui avait été en contact avec ses propres excréments contaminés - et est rapidement devenu très malade.
Bien que cela puisse paraître comme un phénomène anormal, cela montre à quel point il est important que les animaux exotiques soient manipulés avec soin. Si la maladie que le dragon avait répandue n'était pas une simple souche de salmonelle, la situation aurait pu être bien pire.